Les premières montres portatives apparaissent au XVIe siècle. Leur invention est traditionnellement attribuée à l’horloger allemand Peter Henlein qui conçoit de très petites horloges auxquelles il soude un anneau sur le côté. Elles peuvent ainsi être portées en sautoir ou au bout d’une chaîne autour du cou. Cette conception a lieu vers 1510, date approximative, justifiée par des textes d’archives, mais il est fait mention d’horloges portatives fabriquées plus tôt en Italie. La boite des premières montres a longtemps une forme ovale qui leur fait prendre le surnom d’œuf de Nuremberg . Elles s’aplatissent progressivement pour donner les montres à gousset.
Le plus ancien globe terrestre parvenu jusqu’à nous est le globe de Martin Behaim, réalisé à Nuremberg en 1492 et appelé Erdapfel. L’Amérique et l’Australie ne figurent logiquement pas sur ce globe de 51 cm de diamètre. Le cartographe Martin Waldseemüller adapte en 1507 l’imprimerie aux besoins des fabricants de globes en créant les fuseaux. Jusque-là, les globes étaient toujours peints et uniques. De plus, les cartes de Waldseemüller publiées à Saint-Dié des Vosges furent les premières à porter l’inscription « America ».
ESSO Station-Service & Figurines TINTIN Hergé Kuifje 1973 Pub Publicité, il existe 13 personnages peints à la main issu de la bande dessinée Tintin et le lac aux requins du film 1972.
Le netsuke (根付?) est un objet vestimentaire traditionnel japonais servant à maintenir les sagemono (littéralement « objets suspendus »). Le mot se décompose étymologiquement en ne (根?, « racine »), et tsuke (付?, « attacher »). Sur le plan artistique, il n’est pas exagéré de dire que le netsuke représente la tradition artistique naissante du Japon.
Big Jim est une série de poupée pour garçon, produit par Mattel entre 1972 et 1986. Les jouets Big Jim étaient prévus pour concurrencer le G.I. Joe de Hasbro. Vendus à l’origine sur le marché américain, les Big Jim ont été particulièrement populaires en Europe, la vente en Amérique cessant dès 1977.
Un ensemble de figurines sur le thème des aventures de Lucky Luke, offert par la marque de laitages de La roche aux fées dans les années 1970. Les figurines publicitaires Lucky-Luke de La roche aux fées sont moulées en matière plastique teinté de diverses couleurs, elles sont non peintes.
L’industrialisation du jouet au 19e siècle a pour conséquence une nette évolution des matériaux. Ainsi, le gutta-percha, substance gommeuse extraite d’un arbre de Sumatra, dont les propriétés sont similaires à celles du caoutchouc, apparaît en Europe dès 1842. En 1855, Calixte Huret l’utilise pour la confection d’une poupée. Le caoutchouc, quant à lui, est introduit en France par La Condamine dès 1740.
La société Starlux est issue d’une fabrique artisanale de jouets de bazar en blanc de Meudon, créée par Élie Tarroux à Paris en 1930. En 1946, Pierre Beffara, succédant à son beau-père Élie Tarroux, se lance dans la fabrication de figurines en matière plastique.
Cet objet de collection, accessoire de bureau, vendu à l’origine à prix modeste, apparut sur le marché vers 1845 et a fait l’objet d’un succès remarquable. Tout commence par la découverte de la fabrication du cristal en Angleterre en 1751, et en France 20 ans plus tard.
Le mot pilule à d’innombrables synonymes. Et d’abord le plus ancien, qui est peut-être « trochisque », mot d’origine grecque qui marque la forme sphérique : Oribase, au VIe siècle, en signale plusieurs sortes.
Sous Napoléon III, Paris se transforme en « la ville lumière », et son prestige attire les talents de l’Europe entière. Un jeune couturier d’origine anglaise, Charles Frederick Worth (1826–1895), s’installe dans la capitale française. Après un premier apprentissage auprès de la maison Gagelin, il ouvre sa propre maison de couture rue de la Paix, à proximité de la renommée place Vendôme. Innovant et original, il introduit de nouvelles pratiques commerciales : c’est la naissance du défilé de mode sur mannequin vivant (alors appelé sosie) et du concept de « collection », également mis en œuvre dans les grands magasins naissant comme Au Bon Marché d’Aristide Boucicaut (surnommé « Au Bonheur des Dames »).
Monsieur Armand Bourbon fonde l’entreprise en 1921 à St-Lupicin, activités entre autres : tournage du bois, buis, galalithe, celluloïd, usinage d’ivoire, d’os ? Articles fabriqués au cours des années entres autres, en désordre : tire-bouchons, boutons, porte mines, stylos plumes, stylos billes, articles écoliers , colliers composés de boules de différents diamètres avec guillochage faite en reprise dans l’atelier d’usinage, etc.. Moulage des thermodurcissables – 1943 – (bakélite) Début de la plasturgie en 1945 : premières presses d’injection des matières plastiques. Elles seront mises en service progressivement dans les deux ateliers de Monsieur Saintoyant, mécanicien et proche voisin. 1950 – les portes clés – Ayant à fabriquer cette commande, indispensable pour l’entreprise, de 5 000 portes clés, Monsieur Armand Bourbon fait une proposition optative à Claude Cortinovis : diriger dans son entreprise les fabrications et les développements de ce nouveau produit ainsi que d’autres articles. Il lui offre entre autre : pleins pouvoirs et mise à disposition sans limites (ateliers, personnels, matériel, structures). Claude Cortinovis accepte sous certaines conditions… alliances et engagements sont convenus…
La compagnie a débuté en 1940 par Asmund Sigurd Laerdal à Stavanger, en Norvège. A l’origine une petite maison d’édition, elle s’est spécialisée dans les cartes de voeux et des livres pour enfants. En 1943, la société avait élargi dans la fabrication de jouets en bois sous le nom de l’industrie Smavare. En 1951, la société a commencé à fabriquer des poupées jouent réaliste et « mobilier convivial » petites voitures sous le nom de Tomte Laerdal. Ils ont été semblable au concept de voitures fabriquées par la Rubber Company Auburn aux Etats-Unis ou Galanite de la Suède, bien que le produits suédois étaient presque promotionnelles en détail.