Sous Napoléon III, Paris se transforme en « la ville lumière », et son prestige attire les talents de l’Europe entière. Un jeune couturier d’origine anglaise, Charles Frederick Worth (1826–1895), s’installe dans la capitale française. Après un premier apprentissage auprès de la maison Gagelin, il ouvre sa propre maison de couture rue de la Paix, à proximité de la renommée place Vendôme. Innovant et original, il introduit de nouvelles pratiques commerciales : c’est la naissance du défilé de mode sur mannequin vivant (alors appelé sosie) et du concept de « collection », également mis en œuvre dans les grands magasins naissant comme Au Bon Marché d’Aristide Boucicaut (surnommé « Au Bonheur des Dames »).
Monsieur Armand Bourbon fonde l’entreprise en 1921 à St-Lupicin, activités entre autres : tournage du bois, buis, galalithe, celluloïd, usinage d’ivoire, d’os ? Articles fabriqués au cours des années entres autres, en désordre : tire-bouchons, boutons, porte mines, stylos plumes, stylos billes, articles écoliers , colliers composés de boules de différents diamètres avec guillochage faite en reprise dans l’atelier d’usinage, etc.. Moulage des thermodurcissables – 1943 – (bakélite) Début de la plasturgie en 1945 : premières presses d’injection des matières plastiques. Elles seront mises en service progressivement dans les deux ateliers de Monsieur Saintoyant, mécanicien et proche voisin. 1950 – les portes clés – Ayant à fabriquer cette commande, indispensable pour l’entreprise, de 5 000 portes clés, Monsieur Armand Bourbon fait une proposition optative à Claude Cortinovis : diriger dans son entreprise les fabrications et les développements de ce nouveau produit ainsi que d’autres articles. Il lui offre entre autre : pleins pouvoirs et mise à disposition sans limites (ateliers, personnels, matériel, structures). Claude Cortinovis accepte sous certaines conditions… alliances et engagements sont convenus…
La compagnie a débuté en 1940 par Asmund Sigurd Laerdal à Stavanger, en Norvège. A l’origine une petite maison d’édition, elle s’est spécialisée dans les cartes de voeux et des livres pour enfants. En 1943, la société avait élargi dans la fabrication de jouets en bois sous le nom de l’industrie Smavare. En 1951, la société a commencé à fabriquer des poupées jouent réaliste et « mobilier convivial » petites voitures sous le nom de Tomte Laerdal. Ils ont été semblable au concept de voitures fabriquées par la Rubber Company Auburn aux Etats-Unis ou Galanite de la Suède, bien que le produits suédois étaient presque promotionnelles en détail.